LES SALARIÉS CONFIRMENT LA CGT COMME PREMIER SYNDICAT DES TPE

Les résultats des élections de représentativité dans les Très Petites Entreprises confirment la CGT comme première organisation syndicale au plan national, avec 25,12% des suffrages.

Les salariés qui se sont exprimés ont choisi de légitimer le syndicalisme CGT, qui propose, conteste, revendique, lutte et négocie ! La CGT sort confortée de cette élection et remercie les électeurs.

Cette satisfaction des résultats ne peut gommer l’amateurisme dont ont fait preuve le gouvernement et les services du Ministère du Travail tout au long du processus électoral.

Ils portent notamment la responsabilité du faible taux de participation des salariés à l’élection.

Alors que 4,6 millions de salariés étaient concernés par l’élection, aucune communication digne de ce nom dans les médias n’aura été organisée afin d’informer, sensibiliser et favoriser leur expression.

La CGT dénonce le gouvernement et ses services qui auront jalonné d’embuches l’élection des salariés des TPE comme par exemple le report des élections pendant les fêtes de fin d’année.

Le choix de permettre la participation de listes syndicales pourtant dans l’incapacité de représenter les salariés dans les commissions paritaires qui vont se mettre en place démontre que loin de l’affichage, la prise en compte de l’expression des salariés des TPE sur leurs besoins, leurs revendications n’intéressent que peu le gouvernement !

Les salariés ont amené la meilleure des réponses, celle de placer en tête et loin devant la CGT avec un résultat de 25,12% devant la CFDT à 15,44%.

Ces résultats confèrent de grandes responsabilités à la CGT, qui, forte de ce résultat, réaffirme son engagement auprès des salariés des TPE pour, avec eux, exiger des avancées réelles en matière sociale.

La CGT mesure les efforts de déploiement à réaliser pour mieux représenter les salariés des TPE, leur donner plus de place encore dans le syndicalisme CGT, le syndicalisme de tous les salariés.

Les voeux de l’UL CGT Grasse

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L’Union Locale CGT vous présente tous ses meilleurs vœux de joie, bonheur et santé pour la nouvelle année qui vient de s’ouvrir. Ces vœux s’adressent également à tous vos proches ainsi qu’à ceux qui vous sont chers.

Que cette année soit celle qui verra des luttes revendicatives victorieuses afin, non seulement, de préserver nos acquis, mais aussi nous permettre de conquérir des droits nouveaux.

Cette année 2017 sera une année de tous les dangers avec des élections politiques d’une importance capitale pour notre pays, vis-à-vis de nos acquis sociaux, et des services publics en regard des velléités affichées par certains candidats.

F. Fillon annonce devant le MEDEF une « blitzgkrie » de deux mois avec les moyens que lui donne la constitution (décrets, ordonnances, 49,3) afin d’organiser la spoliation de nos acquis, le démantèlement de notre Sécu et des services publics.

Face à tous ces dangers, ne nous contentons pas d’être vigilants, organisons-nous afin d’être prêt pour l’offensive.

Très heureuse année à toutes et à tous

« Il ne suffit pas de s’indigner, il faut s’engager » 
Georges Séguy

Report des élections Très Petites Entreprises du 30 décembre 2016 au 13 janvier 2017

Élections TPE : les salariés méprisés, la CNOV bafouée, les syndicats ignorés…
Le gouvernement se ridiculise !

Cgt_GrasseLa réunion de la Commission nationale des opérations de vote (CNOV) convoquée, ce 16 novembre, n’aura été qu’une mauvaise farce !

Alors que cette instance avait la possibilité de prendre les dispositions pour permettre aux salariés des TPE de faire valoir leur droit d’expression à compter du 28 novembre 2016, comme le calendrier électoral le prévoyait, le gouvernement a  préféré les forcer dans une stratégie fort malavisée.

En effet, dès l’ouverture de la réunion et sans aucun débat, la presse annonçait le report des élections et les nouvelles dates.

Le ministère, au mépris de toute démocratie, bafouant le rôle de la CNOV, a pris une nouvelle décision unilatérale.

Pourtant, depuis des mois, la CGT et d’autres confédérations ont alerté le gouvernement et ses services, la Direction Générale du Travail (DGT), des risques occasionnés par la légèreté de leur contrôle sur les dépôts de listes.

Cette décision a entraîné la contestation des confédérations CGT, FO, CFE-CGC,  CFTC et  CFDT devant la justice, sans que la DGT n’anticipe et ne prenne les dispositions nécessaires à assurer le bon déroulement du scrutin !

La réunion de la commission nationale des opérations de vote (CNOV) convoquée, ce 16 novembre, n’aura été qu’une mauvaise farce !

Alors que cette instance avait la possibilité de prendre les dispositions pour permettre aux salariés des TPE de faire valoir leur droit d’expression à compter du 28 novembre 2016, comme le calendrier électoral le prévoyait, le gouvernement a  préféré les prendre en otage d’une stratégie fort malavisée.

En effet, dès l’ouverture de la réunion et sans aucun débat, la presse annonçait le report des élections et les nouvelles dates.

Le ministère, au mépris de toute démocratie, bafouant le rôle de la CNOV, a pris une nouvelle décision unilatérale, en repoussant les élections du 30 décembre 2016 au 13 janvier 2017 !

Pourtant, depuis des mois, la CGT et d’autres confédérations ont alerté le gouvernement et ses services, la Direction Générale du Travail (DGT), des risques occasionnés par la légèreté de leur contrôle sur les dépôts de listes.

Cette décision a entraîné la contestation des confédérations CGT, FO, CFE-CGC,  CFTC et  CFDT devant la justice, sans que la DGT n’anticipe et ne prenne les dispositions nécessaires à assurer le bon déroulement du scrutin !

Ces élections sont importantes pour tou(te) s les salarié(e) s que ce soit pour les négociations de branche ou pour le nombre de conseillers prud’hommes.
C’est pourquoi chaque salarié concerné doit s’exprimer !
Vous êtes concerné ou quelqu’un de votre entourage,
n’hésitez pas à en discuter !!!

Une question ? Une difficulté ? Venez nous rencontrer
lors d’une de nos permanences syndicales.
(UL CGT Grasse tél : 04 93 36 00 01)

Les horaires des bus pour la manif du 13 à Marseille avec la CGT

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La réussite de notre Manifestation PACA , le 13 décembre prochain, à  MARSEILLE est nécessaire pour contrecarrer le projet ultralibéral du patronat régional à travers Mr ESTROSI qui veut faire de la région PACA : « le terrain de jeu du Patronat ».

Donner des subventions, cadeaux fiscaux, exonérations de charges, facilités de création et d’évasion des bénéfices,… aux patrons ; c’est permettre à une élite (patrons, actionnaires, politiques) d’accaparer les bénéfices sans les redistribuer, même pas en réinvestissement ou carnet de commandes au sein des entreprises. Donc rien des 11 milliards d’euros de budget régional ne sera redistribué, encore moins aux acteurs principaux, ni aux salariés, ni aux services publics et ces 5 millions d’ usagers, ni à la collectivité, ni en faveur du développement de l’emploi PUBLIC et PRIVE en PACA !!!

Sur notre territoire des Alpes-Maritimes, chaque structure CGT doit décliner ces débats et s’emparer de cette Journée PACA , par une mobilisation massive, à la hauteur des enjeux,  POUR UNE AUTRE POLITIQUE REGIONALE !

Dans l’attente de remontées d’initiatives , pour information ,
l’UD CGT 06 vous propose  :

-1 BUS de 50 personnes au départ de NICE à 7H (Pont Michel)
avec arrêt à ANTIBES
CARREFOUR
(l’heure de passage sera précisé prochainement)

-1 BUS de 50 personnes au départ de NICE à 7H (Pont Michel) avec arrêt
à MANDELIEU  au supermarché CASINO
(l’heure de passage sera précisé
prochainement)

*Arrivée à MARSEILLE pour MANIFESTATION PACA à 11 heures –
Hôtel de Région , Place 
Jules Guesde

*Départ de Marseille à 14H

Merci de faire parvenir au plus vite les inscriptions des Camarades auprès
de l’UL
CGT  de Grasse. Tél: 04 93 36 00 01

ul.cgt.grasse@wanadoo.fr

Avec la CGT développons l’emploi industriel et les services publics en PACA Pour bâtir une région de progrès social

Tous ensemble le 13 décembre à Marseille. 11 heures
Hôtel de Région – Place Jules Guesde.

autocolrond

Les différentes réformes gouvernementales de ces dernières années accompagnées de politiques d’austérité désastreuses ont dégradé considérablement l’emploi en PACA. Notre région est attaquée sur ses fondements économiques et ses équilibres sociaux sont fragilisés. Elle a besoin d’une relance forte de son économie productive et de moyens importants pour des services publics de qualité. Ici comme ailleurs nous sommes victimes de la mise en œuvre d’orientations qui considèrent le travail comme un coût, les garanties collectives comme un frein au libéralisme et les investissements comme autant de fonds prélevés sur des dividendes versés aux actionnaires toujours plus indécents. Des milliers d’emplois ont été sacrifiés tant dans le secteur industriel que dans les services publics ces dix dernières années en PACA. Dans un tel contexte, plutôt que de favoriser des investissements de long terme, seuls créateurs d‘emploi et de richesses, la puissance publique, à l’image de la majorité actuellement à la tête de la Région, continue de ne pas s’engager sur le terrain de la reconquête industrielle et d’affaiblir nos services publics ainsi que le tissus associatif régional.

Christian Estrosi, le président de Région, affirme sa volonté d’être le premier partenaire du monde économique, et de faire de notre région le terrain de jeu des entreprises. Et il le fait ! Il décide une hausse de 12% des aides directes aux entreprises au budget 2017, sans aucune condition et probablement sans aucune évaluation régionale, avec en fond l’exacerbation des identités régionales au détriment de l’unité républicaine. C’est tout pour les plus grosses entreprises et pas assez d’investissements sur les filières industrielles historiques, piliers de notre économie, encore moins sur des investissements susceptibles de permettre le développement d’emploi dans des filières d’avenir sur PACA. Les maitres mots compétitivité, flexibilité, et rentabilité.
Cela se traduit par une concentration et une spécialisation du territoire régional vers des activités de services, en misant principalement sur les « start up » et la captation hypothétique de marchés à l’international, sur des innovations sans véritables retombées économiques pour le territoire, sur le soutien à « l’industrie » du tourisme.
Autant de secteurs déjà d’ailleurs largement gavés d’aides gouvernementales, notamment par le CICE….. Rien sur la relance de la demande intérieure et de proximité. Pour les populations cela se traduit déjà par la suppression du Pass culture, par la volonté du président de région de remettre en cause la convention TER et donc par des menaces certaines quand au maintient de la carte ZOU, par des suppressions d’emplois au Conseil Régional, dans le secteur associatif et les organismes de formations suite à la diminution des budgets régionaux. Développons l’emploi industriel et les services publics en PACA Pour bâtir une région de progrès social.

Tous ensemble le 13 décembre à Marseille.

Nous le savions, la finalité du « big bang » territorial n’était pas d’améliorer l’efficacité des Services publics pour répondre aux besoins des populations, ni d’aller vers un aménagement durable du territoire, ni de relancer les filières industrielles mais bel et bien de satisfaire aux injonctions des Traités Européens et de s’adapter coûte que coûte aux règles d’un marché débridé. Estrosi s’inscrit dans cette logique mortifère pour notre territoire et ses salariés. Au final, ces choix vont se traduire par un gonflement de la facture fiscale et de la tarification des Services publics pénalisant les ménages, ainsi que par la suppression de moyens nécessaires aux personnels de la Région pour le bon exercice de leurs missions. Face à ce constat, la CGT est porteuse de propositions construites et portées par ses organisations professionnelles et interprofessionnelles.
Ces propositions visent à lutter contre les inégalités sociales et territoriales en accompagnant le développement économique par une politique d’aménagement du territoire et de développement des services publics, et de l’emploi industriel. Pour nous, il s’agit bien de remettre la reconquête industrielle au cœur du développement économique en développant des logiques de filière et de coopération entre professions
Il faut également développer l’économie sociale et solidaire ainsi que les aides à la reprise de sites par les salariés et, bien évidemment, nous exigeons la mise en place d’une politique de contrôle et d ‘évaluation des aides publiques avec la participation des organisations syndicales. Dans ce cadre, la CGT en PACA a décidé d’une journée de mobilisation pour faire entendre les revendications des salariés, privés d’emploi et retraités en faveur du développement de l ‘emploi public et privé en PACA.

Manifestation Régionale à Marseille

13 décembre 2016 11 heures – Hôtel de Région – Place Jules Guesde

Avec la CGT, développons l’emploi industriel et les services publics en PACA pour bâtir une région de progrès social

autocolrond

Les différentes réformes gouvernementales de ces dernières années accompagnées de politiques d’austérité désastreuses ont dégradé considérablement l’emploi en PACA. Notre région est attaquée sur ses fondements économiques et ses équilibres sociaux sont fragilisés. Elle a besoin d’une relance forte de son économie productive et de moyens importants pour des services publics de qualité.

Ici comme ailleurs nous sommes victimes de la mise en œuvre d’orientations qui considèrent le travail comme un coût, les garanties collectives comme un frein au libéralisme et les investissements comme autant de fonds prélevés sur des dividendes versés aux actionnaires toujours plus indécents. Des milliers d’emplois ont été sacrifiés tant dans le secteur industriel que dans les services publics ces dix dernières années en PACA. Dans un tel contexte, plutôt que de favoriser des investissements de long terme, seuls créateurs d‘emploi et de richesses, la puissance publique, à l’image de la majorité actuellement à la tête de la Région, continue de ne pas s’engager sur le terrain de la reconquête industrielle et d’affaiblir nos services publics ainsi que le tissus associatif régional.

Christian Estrosi, le président de Région, affirme sa volonté d’être le premier partenaire du monde économique, et de faire de notre région le terrain de jeu des entreprises. Et il le fait ! Il décide une hausse de 12% des aides directes aux entreprises au budget 2017, sans aucune condition et probablement sans aucune évaluation régionale, avec en fond l’exacerbation des identités régionales au détriment de l’unité républicaine. C’est tout pour les plus grosses entreprises et pas assez d’investissements sur les filières industrielles historiques, piliers de notre économie, encore moins sur des investissements susceptibles de permettre le développement d’emploi dans des filières d’avenir sur PACA. Les maitres mots compétitivité, flexibilité, et rentabilité.

Cela se traduit par une concentration et une spécialisation du territoire régional vers des activités de services, en misant principalement sur les « start up » et la captation hypothétique de marchés à l’international, sur des innovations sans véritables retombées économiques pour le territoire, sur le soutien à « l’industrie » du tourisme. Autant de secteurs déjà d’ailleurs largement gavés d’aides gouvernementales, notamment par le CIC. Rien sur la relance de la demande intérieure et de proximité.

Pour les populations cela se traduit déjà par la suppression du Pass culture, par la volonté du président de région de remettre en cause la convention TER et donc par des menaces certaines quand au maintient de la carte ZOU, par des suppressions d’emplois au Conseil Régional, dans le secteur associatif et les organismes de formations suite à la diminution des budgets régionaux. Développons l’emploi industriel et les services publics en PACA Pour bâtir une région de progrès social.

Tous ensemble le 13 décembre à Marseille !