IME Val Payon à Drap (06) : rassemblement pour dire stop la répression de la direction contre les élus CGT

Conflit social dans l’établissement au sein
de
 l’IME Val Paillon/ADSEA 06.
 
Depuis l’été 2016 de nombreux salarié-es sont mobilisés avec La CGT pour la défense de leurs conditions de travail très difficiles et des conditions d’accueil qui se dégradent avec le projet de restructuration que la direction veut imposer sous couvert de l’ARS (agence régionale de santé). cf tract du 31082016 ci joint
 
Depuis le début, la Direction n’hésite pas à mettre en oeuvre des pratiques s’apparentant à de la pression sur les salarié-es mobilisés. Un cap est en train d’être franchi par la convocation lundi 10 avril pour entretien préalable à sanction à l’encontre de deux élus CGT, la déléguée syndicale François Corraine (convoquée à 16h) et le secrétaire du Comité d’entreprise Gabriel Pellégata (convoqué à 14h).
Les motifs invoqués nous montrent que la direction cherche le moindre prétexte pour tenter d’affaiblir le mouvement en s’attaquant aux élu-es du personnel.
 
Nous appelons tous les syndicats et structures CGT, tous les adhérent-es à soutenir le mouvement en signant la pétition en ligne ci dessous,
… Et pour ceux/celles qui le peuvent venir soutenir le rassemblement
des personnels lancé par le syndicat 
lundi 10, en soutien aux élu-es CGT
menacés de sanctions.
STOP AUX PRESSIONS ET INTIMIDATIONS
POUR FAIRE TAIRE DES REVENDICATIONS JUSTES
ET DEFENDANT L’INTERET GENERAL
 

RENDEZ VOUS  LE 10 AVRIL A PARTIR DE 13H30 

devant l’IME chemin Vallières à Contes

Pour l’USD CGT santé action sociale 06
Delphine Girard
Secrétaire générale

La reconquête industrielle et sociale avec la CGT

La France a besoin d’une industrie et des services publics forts, répondant aux besoins de la population et qui assurent un développement économique  équilibrés des territoires, la création d’emplois et de progrès social pour tous.

Ces pour ces raisons que la CGT organise une journée d’action nationale interprofessionnelle, le mardi 21 mars.

Pas d’industries sans services publics
pas de services publics sans industries !

Il est nécessaire de réindustrialiser la France et de relocaliser ses capacités de production, et du développement économique du pays.

  Pour la CGT, l’industrie est indispensable pour assurer la pérennité économique.

Pour la CGT, il faut donner aux services publics des moyens forts pour répondre aux attentes des Français pour leurs besoins fondamentaux

 La Sécu, la santé l’éducation doivent
rester des services publics !

Avec la CGT, défendons nos acquis en manifestant
le 21 mars. C’est notre avenir qui en dépend !

 

Union Locale CGT Grasse et région : 11, rue Gazan. Tél. : 04 93 36 00 01.

ul.cgt.grasse@wanadoo.fr

Le 7 mars, tous à Nice avec la CGT pour défendre la Sécu !

Les lois de finances et de financement de la Sécurité sociale adoptées sous l’actuel quinquennat ont organisé l’asphyxie et l’étranglement budgétaires de toutes les dimensions de l’action publique, celles de l’Etat, des collectivités territoriales, des hôpitaux, des établissements de l’action sociale, et plus largement encore de la Sécurité sociale.

  •  La généralisation et l’aggravation des politiques d’austérité, au titre notamment du pacte de responsabilité, produisent des conséquences désastreuses : l’abandon, l’externalisation et la privatisation de missions publiques au détriment de l’effectivité et de la qualité du service public rendu aux salarié-e-s, aux privés d’emploi, à la jeunesse, aux retraité-e-s.
  • La négation des principes d’égalité, d’accessibilité et de continuité du service public.
  • La destruction des services de pleine compétence et de proximité implantés sur l’ensemble du territoire national, y compris en Outre-Mer, avec des milliers de fermetures, de fusions et de regroupements.
  • Une politique de l’emploi inacceptable qui se caractérise par la poursuite des plans pluriannuels de suppressions d’emplois, une précarité et une flexibilité toujours plus grande, des attaques sans précédent contre les droits et les garanties collectives des personnels à l’image des attaques portées contre le Code du travail, le respect de la hiérarchie des normes, le Statut général et les statuts particuliers des fonctionnaires.
  • Le refus persistant, alors que les conditions de vie au et hors travail des personnels ne cessent de se dégrader, de procéder à une revalorisation significative des rémunérations versées.
    Après cinq années d’une politique régressive, certain-ne-s candidat-e-s à l’élection présidentielle nous promettent que le pire est à venir.

Pour la CGT, la défense des intérêts des agent-es, des salarié-e-s et plus largement de la population

revêt un caractère primordial et cela même à la veille d’échéances électorales cruciales pour l’avenir de notre pays.

C’est pourquoi, sans attendre, la CGT appelle les personnels, dans l’unité la plus large, à se mobiliser, le mardi 7 mars 2017, par la grève et dans les rassemblements et les manifestations qui seront organisées sur l’ensemble du territoire.

Une mobilisation pour faire des services publics des outils au service de la satisfaction des droits et des besoins fondamentaux, du plein emploi, d’une protection sociale de qualité pour toutes et tous, d’une nouvelle logique de développement organisant, y compris, la nécessaire transition écologique !

  • Une mobilisation pour obtenir des mesures générales et immédiates de revalorisation des rémunérations, l’abrogation des réformes néfastes pour l’action publique et de tous les dispositifs de «salaire au mérite», les créations d’emplois partout où c’est nécessaire, la résorption de toutes les formes de précarité du travail, la réduction du temps de travail à 32 heures, le renforcement des droits et des garanties collectives !

La CGT appelle les salariés du secteur public et du privé, les retraités, les privés d’emploi à se mobiliser demain 7 mars 2017 et participer à la manifestation à partir de 10 heures place Garibaldi, à Nice.

Auribeau (06) : à l’Ehpad la Bastide des Moulins la CGT ne lâche pas

L’article paru dans Nice Matin (jeudi 23 février), en soutien à Eric P injustement licencié, a fait réagir la direction. Tout d’abord, s’appuyant sur la photo de l’article, la directrice régionale Paca Est DomusVie, déclare que : « la manifestation était faite par deux employés, dont une déléguée du personnel (…) ».Soit. Mais, Madame la directrice, la vérité ne se fait pas grâce au plus grand nombre, heureusement. L’essentiel étant dans la situation de mal être que traverse le personnel : une démission et trois personnes déclarées inaptes au travail qui ne font plus partie de la Bastide des Moulins, et le licenciement d’Eric. Et ce n’est pas tout, une pétition signée par 21 salariés sur une 48 personnes, dont 13 CDD, qui demande à la direction la suppression de la sanction contre Eric et d’obliger le directeur de respecter les salariés. Ce sont les faits. Mme la directrice, pourtant annonce que « (…) ces accusations sont sans fondement ni preuves. Nous avons organisé des réunions avec les employés et aucun n’a relayé les faits qui [nous] sont reprochés. De même, ils [les salariés] échangent avec la direction, jamais il n’y a eut de reproche sur le comportement du directeur. » Et pour cause, les réunions se font sans la déléguée CGT. Le personnel est seul face à la direction lors de ces « échanges ».

Autre détail qui démontre cette « cette ambiance sereine qui règne dans l’établissement » : à chaque réunion de délégué du personnel, le directeur de la Bastide des Moulin refuse que soit marqué sur le Pv de réunion le nom du syndicat (CGT et FO).

Lundi 27, la déléguée syndicale centrale qui vient de Paris, ira à la rencontre des salariés. En souhaitant que le directeur n’impose pas sa présence dans cette démarche pour confirmer si la situation est aussi sereine.

Contactée, l’inspectrice du travail ne s’est pas encore prononcée sur le licenciement d’Eric.

Avec LA SCOP-TI 1336, luttez en buvant du thé !

Les ex FRALIB ont besoin de nous ! une nouvelle bataille doit être menée pour pérenniser l’entreprise SCOP-TI, une entreprise démocratique dirigée par ceux qui y travaillent et qui ne rémunère pas des actionnaires extérieurs. Comment faire ? Il suffit d’acheter leurs produits si vous les voyez dans des points de vente. Si vous ne souhaitez une nouvelle bataille doit être menée pour pérenniser l’entreprise SCOP-TI, une entreprise démocratique dirigée par ceux qui y travaillent et qui ne rémunère pas des actionnaires extérieurs.

Comment faire ? Il suffit d’acheter leurs produits si vous les voyez dans des points de vente. Si vous ne souhaitez pas acheter les produits 1336 et SCOP-TI par le biais de la grande distribution, si vous souhaitez promouvoir l’émergence d’un réseau de distribution de proximité, c’est aussi possible.

Votre syndicat, UL,UD peuvent devenir client de SCOP-TI et servir de relais pour accéder aux produits 1336 et SCOP-TI et les revendre à leurs Syndiqués ou sympathisants.

Bon de commande SCOP TI 1336 pour Syndicat,UL,UD

Contactez l’ADV de SCOP-TI  par mail  à  : adv@scop-ti.com
Vous voulez simplement commander en tant que particulier. Vous pouvez vous adresser à l’Association FraLiberThé en remplissant cette fiche de commande téléchargeable à l’envoyant remplie et scannée à « contact@fraliberthe.fr » qui vous indiquera les frais de port pour adresser votre règlement.