Contre la destruction du Code du travail et de la Fonction publique : manif le 19 octobre 10h30 place Garibaldi

 

Les ordonnances Macron ne sont pas derrière nous. Les routiers nous ont prouvé qu’on pouvait mettre en échec
ces ordonnances. Ils ont gagné l’intégration des primes et indemnités
dans le salaire de base 

(Philippe Martinez).

Les citoyens contestent de plus en plus ces ordonnances : 65 % d’entre eux les rejettent et 57 % approuvent les mobilisations contre ces projets gouvernementaux. »

Le gouvernement entreprend actuellement une déstructuration globale du modèle social français.
La journée d’action du 19 octobre se veut donc « ancrée dans la rue et les entreprises, à partir des revendications de chacune des professions ».

Ce que projette le gouvernement :
Généraliser l’inversion de la hiérarchie des normes avec pour but ultime : l’instauration d’un Code du travail par entreprise.

  • Faciliter les licenciements et plafonner les indemnités.
  • Fusionner les instances de représentation des salariés (Délégués du Personnel, Comité d’Entreprise, CHSCT) et réduire ainsi le nombre de représentants du personnel avec pour conséquence, une défense des intérêts des travailleurs moins efficace et un risque accru que les conditions de travail se dégradent.
  • Mettre en place des CDI de projet : en clair, fin du CDI, et généralisation des CDD avec suppression de la prime de précarité.
  • Modifier les critères du compte pénibilité (le mot « pénibilité » disparaît). Il faudra être sacrément mal en point pour pouvoir en bénéficier !
  • Les cotisations, actuellement payées par l’employeur, seront dorénavant à la charge de la sécurité sociale !

La casse du service Public s’amplifie !

  • Suppression de 120 000 postes de fonctionnaires.
  • Gel de la valeur du point d’indice.
  • Restauration d’un jour de carence en cas d’arrêt maladie.
  • Le Président de la République veut différencier la valeur du point d’indice dans les 3 versants de la Fonction publique.

Les retraités ne sont pas épargnés !

  • L’augmentation de la CSG de 1,7% pour les pensions au-dessus de 1200 euros.
  • Dix millions de retraités subiront cette augmentation alors que les pensions et les retraites complémentaires sont gelées depuis 4 ans.
  • Depuis 2013, une nouvelle contribution de 0,3%, la CASA, est prélevée sur les retraites pour financer la perte d’autonomie et la dépendance.

Gel des pensions, hausse de la CSG !

L’augmentation de la CSG de 1,7% pour les pensions au-dessus de 1200 euros.

  • Dix millions de retraités subiront cette augmentation alors que les pensions et les retraites complémentaires sont gelées depuis 4 ans.
  • Depuis 2013, une nouvelle contribution de 0,3%, la CASA, est prélevée sur les retraites pour financer la perte d’autonomie et la dépendance.

DEPART COLLECTIF A PARTIR DE LA GARE SNCF DE GRASSE A 8 H
RESERVATION AU : 04 93 36 00 01. OU
ul.cgt.grasse@wanadoo.fr

Salle Righetti (12/10,18h30) : l’UL CGT de Grasse décrypte et analyse les ordonnances travail

Afin de mieux comprendre et appréhender les conséquences de la LOI MACRON, l’Union Locale CGT de Grasse organise une rencontre/débat
le jeudi 12 octobre 2017 à 18h00 salle Righetti (Trinquet) à GRASSE LE PLAN.

Chacun doit pouvoir en connaître les répercussions qui pourraient découler  sur leur contrat de travail ainsi que sur les instances représentatives du personnel.

 

Grasse (06) l’entreprise Tournaire condamnée à payer la prime du partage des biens

Les Etablissements Tournaire viennent d’être condamnés par le tribunal des prud’hommes de Grasse à verser une prime de 170€  aux élus CGT n’ayant pas perçu la prime de partage sur profits en 2015 !

Bien entendu ces décisions légitiment les démarches entreprises par la CGT qui est majoritaire dans les établissements Tournaire.

Aujourd’hui, la CGT exige la régularisation de la prime de partage des profits à  tous les salariés.  Si la direction refuse cette régularisation, nous invitons tous les salariés à se rapprocher auprès du Délégué Syndical CGT afin d’obtenir le versement de cette prime en saisissant la justice.

Sachez que sur la dernière condamnation concernant la prime d’assiduité notre direction n’a pas hésité à faire un recours auprès de la cour de cassation.

Nous déplorons ce jusqu’au- boutisme qui a été  parfois relayé par certains cadres en 2017 :
convocation à sanction  du rectifieur, une semaine avant son départ à la retraite au mois de mars par le directeur industriel,
qualification du comportement des salariés de l’atelier équipement  comme du sabotage sur le chantier Robertet,
sans parler du test salivaire soumis par notre responsable Ressource humaine dans le règlement intérieur…

La CGT se bat pour faire respecter nos droits et non à contribuer à les démanteler et ceux ne sont pas ces méthodes  qui motiveront le personnel.

La CGT n’en veut plus !!!!          

Soyons prêts à réagir si elle n’accorde pas cette prime à tous !

Domusvi La Bastide du Moulin (Auribeau 06) : la CGT confirme !

Notre camarade Gabriella Blondin a été élue (titulaire) lors des dernières élections de délégués du personnel de La Bastide du Moulin à Auribeau (06). Au premier tour, seule candidate, sur 38 inscrits, elle a obtenu 18 voix (8 blanc). Au second tour, 19. Elle est donc élue titulaire et la candidate sans étiquette qui s’était présentée a obtenu 12 voix.
Il y a eu un second tour, parce La Poste avait perdu des votes par correspondance.

Les luttes de l’année dernière dans cet établissement, avec déplacement d’un huissier pour influencer les salariés n’auront pas suffit à décourager le personnel à voter pour la représentante de la CGT qui continue la lutte syndicale avec encore plus de conviction.
Une autre bonne nouvelle, Laurent Gaudinut (chef cuisine), a été élu suppléant du collège cadre pour la CGT.
Les deux élus remercient celles et ceux qui leur ont fait confiance.
Ces deux victoires doivent aussi beaucoup à Michèle Nicolas, déléguée CGT du comité d’entreprise du groupe Domusvi, ainsi qu’à l’Union locale CGT de Grasse, notamment Phililippe Bourgain.
Il y a maintenant deux élu CGT à Domusvi La Bastide du Moulin.

Halte au matraquage des retraités avec la CGT, FO, FSU, Retraités fonction publique

Depuis plus de 4 ans notre pouvoir d’achat se dégrade du fait de la non revalorisation de nos retraites et pensions, alors que nous subissons l’augmentation des dépenses contraintes : habitation – impôts et taxes – dépenses d’énergie – mutuelles des seniors, déremboursements de nombreux médicaments, etc. Résultat le pourcentage de retraités vivant en dessous du seuil de pauvreté augmente, alors qu’il diminue pour la population en général. et maintenant, on va nous déduire 1,70 % supplémentaire de CSG sans aucune compensation.
Nous sommes plus de 16 millions de retraités et nous n’avons même plus de ministère pour s’occuper de nos conditions de vie !
Le Candidat président Emmanuel MACRON dans une lettre ouverte adressée le 18 avril 2017 à tous les retraités écrivait : « C’est pourquoi je tenais à vous écrire, afin de vous présenter les orientations que je souhaite donner à mon quinquennat concernant votre vie à la retraite. » …. …. « Je m’engage tout d’abord à protéger votre pouvoir d’achat et à en redonner aux retraités les plus modestes. » L’engagement est clair.
Nous tenons à faire entendre nos revendications à la veille du 1er octobre 2017 (date des revalorisations annuelles) :
• Pour l’augmentation significative des retraites et pensions et le retour à une revalorisation annuelle au 1er janvier de l’année en prenant en compte l’évolution du salaire moyen *
Contre la majoration des 1,70 % de la CSG, sans compensation pour les retraités.
• Pour la défense de notre pouvoir d’achat encore une nouvelle fois attaqué.
Nous appelons les retraités à participer nombreux à la journée nationale de mobilisation et d’action le : Jeudi 28 septembre 2017 à 10h lors d’un Rassemblement et d’une Manifestation Place Garibaldi à Nice * Pour faire progresser le niveau de vie de l’ensemble des retraités au même rythme que celui des actifs (indexation des retraites sur l’évolution du salaire moyen) et qu’aucune retraite pour une carrière complète ne soit inférieure au SMIC.
Pour assurer une protection sociale solidaire en renforçant la Sécurité Sociale et ainsi réduire les restes à charge pour développer l’accès aux soins.